
Télescopes TRAPPIST
Le projet TRAPPIST (TRAnsiting Planets andPlanetesImals Small Telescope) est dédié à la détection et la caractérisation des planètes en orbite autour d’autres étoiles que notre Soleil (exoplanètes) et à l’étude des comètes et autres petits corps de notre système solaire. Il consiste en deux télescopes robotiques de 60 cm, l’un dans l’hémisphère sud (Observatoire de La Silla -Chili), et l’autre dans l’hémisphère nord (Observatoire de l’Oukaimeden – Maroc).
Principalement financé par le Fonds National de la Recherche Scientifique (Belgique, F.R.S.-FNRS) et l’Université de Liège, TRAPPIST est dédié à la détection et la caractérisation des planètes en orbite autour d’autres étoiles que notre Soleil (exoplanètes) et à l’étude des comètes et autres petits corps de notre système solaire. Il consiste en deux télescopes robotiques de 60 cm, l’un dans l’hémisphère sud, installé à l’Observatoire La Silla de l’ESO au Chili en juin 2010 et l’autre dans l’hémisphère nord, installé en mai 2016 à l’observatoire de l’Oukaimeden au Maroc.
Ce télescope est à l’orgine de la découverte du système exoplanétaires « Trappist » en juin dernier.
> En savoir plus sur le télescope TRAPPIST
> En savoir plus sur le nouveau télescope TRAPPIST-Nord inauguré ce 6 octobre

OUFTI-1
Acronyme de Orbital Utility for Telecommunication Innovation, OUFTI-1 a été entièrement développé par des étudiants liégeois. Résultat de nombreuses années de travail impliquant des dizaines d’étudiants encadré par une équipe de professeurs, le CubeSat doit servir de relais dans l’espace pour les radioamateurs utilisant le système de télécommunication numérique D-STAR mondial.
L’idée du CubeSat liégeois remonte à 2007. A cette époque, les radioamateurs commencent à utiliser une technologie de télécommunication numérique sophistiquée appelée D-STAR, mais le système D-STAR mondial ne possède pas encore de satellite relais, pourtant bien utile lorsque les relais terrestres font défaut ou ont été détruits, par exemple lors de catastrophes naturelles. Fournir un tel relais a donc été la mission autour de laquelle s’est construit le projet pédagogique OUFTI-1, encadré par les Pr Jacques Verly et Gaëtan Kerschen.
> En savoir plus sur le CubeSat OUFTI-1
> Lire l’article La fusée Soyouz a lancé OUFTI-1 dans l’espace

Mercure scrutée par MESSENGER
Le transit de Mercure est l’occasion de rappeler l’importance de cette planète pour la compréhension de notre système solaire. Des géologues de l’Université de Liège, emmenées pas Bernard Charlier, en élucident peu à peu les mystères…
> Lire l’article Lumière sur Mercure !

En orbite autour d’astéroides !
Des chercheurs du département d’aérospatiale et mécanique travaillent actuellement sur la conception d’orbites autour d’astéroides afin d’étudier ceux-ci de très près mais également de s’y poser dessus avec un nanosatellite.

Mission JUNO
Le 5 juillet 2016, à 5h18 du matin (heure belge), la sonde interplanétaire NASA Juno était insérée en orbite autour de Jupiter, après 5 années de transit. L’Université de Liège est directement associée à cette mission majeure pour la connaissance du système solaire, et ce à double titre.
> Lire le communiqué de presse Mission Juno : l’ULg dans l’orbite de Jupiter

Le système de navigation Galileo
Système de navigation Européen, Galileo devrait remplacer nos GPS actuels d’ici quelques années, mais pourrait aussi révolutionner le métier de géomètre. Au département de Géographie, le service Géodésie et GNSS s’est spécialisée dans l’étude des effets de l’atmosphère sur les signaux Galileo.
> Lire l’article Ceux signaux GPS qui font fausse route
> Lire l’article Galileo un GPS européen

L’arpenteur de la Voie Lactée
Mesurer un milliard d’étoiles… pour un milliard d’euros ! Tel est le pari de Gaia, la mission d’arpentage et de cartographie 3D qui porte sur plusieurs pour cent de notre galaxie. Lancé en décembre 2013, le satellite Gaia n’a depuis lors cessé d’arpenter l’espace.
>Lire l’article L’arpenteur de la Voie Lactée
> Lire l’article Ouvert pour cause d’inventaire

TRAPPIST-1, un nouveau système planétaire
Des astrophysiciens liégeois ont découvert trois planètes de la taille de la Terre autour d’une petite étoile située à 40 années-lumière. Ces planètes pourraient présenter des conditions habitables à leurs surfaces. De plus, les futurs télescopes seront capables de les étudier en détail et d’y détecter de la vie !
> Lire l’article Un trio de terres à 40 années-lumière
> Lire l’article Les exoplanètes orbitant autour de TRPPIST-1 livrent d’autres secrets

Les 50 ans du Centre Spatial de Liège (CSL)
Un demi-siècle d’Europe spatiale. Le CSL, hier, aujourd’hui, demain. Les 6 et 7 septembre 2015, le Centre spatial de Liège, mieux connu sous l’acronyme de CSL, fêtait ses 50 ans. L’occasion de revenir sur les temps forts de ce fleuron liégeois.
Au début des “golden sixties”, un jeune professeur de l’Institut d’astrophysique de Liège, André Monfils – dans l’orbite du Pr Pol Swings – mettait à l’heure spatiale une équipe de chercheurs et techniciens pour des expériences au moyen d’instruments optiques. Cette équipe, d’abord connue sous le nom d’IAL Space, grandit pour devenir le Centre spatial de Liège au sein de l’Université et au service de l’Agence spatiale européenne (ESA). Elle a conservé l’esprit pionnier de ses débuts en étant à l’avant-garde pour répondre aux exigences des systèmes spatiaux, tant en Europe qu’en Amérique.
> Consulter le site web du CSL
> Lire l’article Un demi-siècle d’Europe Spatiale
> Consulter le site internet dédié aux 50 ans du CSL

55 Cancri e, super-Terre
Des astrophysiciens ont cartographié dans l’infrarouge la surface d’une super-Terre. Une grande première publiée dans Nature et qui ouvre un nouveau champ d’étude, celui de la dynamique des exoplanètes de petite taille.
> Lire l’article La carte d’une super-Terre
> Lire l’article 55 Cancri e : d’énormes variations de température !
> Lire l’article Découverte d’anneaux autour d’un astéroïde

Les aurores de Jupiter
Sur Jupiter, les aurores sont liées à des phénomènes différents dont certains ne sont pas encore élucidés. Des observations cumulées à l’aide des satellites Hisaki et Hubble ont permis d’identifier un de ces mécanismes jusqu’alors méconnu.
> Lire l’article Mise en lumière des aurores de Jupiter
> Lire l’article Surprise autour des aurores polaires de Jupiter

Les aurores martiennes dévoilées
En passant en revue ce qui avait été observé lors de survols de Mars, Lauriane Soret et Jean-Claude Gérard ont pu déceler de nouvelles aurores dans l’hémisphère austral de la planète rouge et en démontrer les caractéristiques très particulières.
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